Les différents types de pollution

Les autres types de pollution – On peut le faire

Bienvenue dans ce nouvel épisode d’On peut le faire, la chronique réalisée en partenariat avec RTV FM, qui donne des idées écoresponsables et locales pour avancer chacun à son rythme.

Après vous avoir parlé le mois dernier du tourisme durable, je fais un point ce mois-ci sur tout ce qui peut également être considéré comme de la pollution mais pas des sols ou de l’air.

Dans cet épisode vous allez entendre une compilation des chroniques diffusées à la radio : 

  • La pollution sonore
  • La pollution lumineuse
  • La pollution visuelle
  • Notre cerveau pollué par les mauvaises nouvelles
  • S’informer de manière constructive

Bonne écoute !


Références citées dans cet épisode :

Le mouvement Lights off : https://www.youtube.com/watch?v=XJBWVMCrjsc&t=4s

Stop Pub : https://www.stoppub.fr/

Cleanwalk : https://www.cleanwalk.org/

1 déchet par jour : https://1dechetparjour.com/

Article de Novethic « Rapport du Giec : Non, il ne nous reste pas trois ans avant la fin du monde : https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/rapport-du-giec-non-il-ne-nous-reste-pas-que-trois-ans-avant-la-fin-du-monde-150712.html

Définition de la solastalgie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Solastalgie

Bleu tomate : https://www.bleu-tomate.fr

Green blog de Green & local : https://www.greenetlocal.com/blog-list/
Y’a le feu au lac : https://podcasts.ouest-france.fr/emission/1-66-Y-a-le-feu-au-lac
Je fais de mon mieux : https://www.youtube.com/channel/UCnoZQdGz4JVva8bR7m3QZSg
Sismique : https://www.sismique.fr/
La terre au carré : https://www.franceinter.fr/emissions/la-tete-au-carre
Althea Provence : https://www.altheaprovence.com
Le média positif : https://www.youtube.com/channel/UCfgXwqDwvgn3WbxxBoC4gjA

Vous pouvez lire la retranscription de la chronique en intégralité ci-dessous : 

La pollution sonore

Bienvenue dans ce nouvel épisode d’On peut le faire.  Cela fait maintenant 8 mois que chaque semaine je partage avec vous mes idées écoresponsables et locales pour vous aider à avancer à votre rythme vers un comportement plus respectueux de la planète. 

En relisant mes chroniques, je me suis rendue compte que beaucoup de mes épisodes parlaient de la pollution des sols et de l’air. Mais d’autres types de pollution existent et j’aimerais ce mois-ci vous en parler, car on y pense moins souvent mais ils jouent également sur le bien-être de notre planète et le nôtre par la même occasion.

Commençons par la pollution sonore. Et au moment où j’écris ce texte, une moto cross passe dans ma rue et j’ai dû m’arrêter d’écrire car personnellement quand le niveau sonore est trop élevé je n’arrive pas à me concentrer.

Ne vous est-il jamais arrivé d’arrêter la radio dans votre voiture ou demander à votre copilote de se taire pour réussir une manœuvre compliquée ? Et c’est là que l’on se rend compte du stress que provoque le bruit sur notre corps.

Et je ne parle pas que de nos oreilles, selon un étude menée par l’ADEME, parmi les facteurs de risque environnemental en milieu urbain, le bruit est devenu la seconde cause de morbidité derrière la pollution atmosphérique. 

Le bruit peut également avoir un impact sur notre santé mentale.

Bien sûr selon notre lieu d’habitation et / ou notre travail on ne peut pas baisser le volume des nuisances sonores que nous ne créons pas nous même, et nous n’avons pas forcément les moyens pour isoler phoniquement notre habitation. 

En revanche, on peut essayer de chouchouter nos oreilles et celles de nos voisins.

Si je reprends l’exemple de la moto cross, sachez qu’il existe des réducteurs de bruits.

Pour ce qui est des travaux, il y a des règles qui obligent de les faire en semaine, à certaines heures pour laisser des moments de calme comme par exemple le dimanche après 12h ou en fin de journée. Respecter ces moments de pause ne fera qu’améliorer vos rapports avec vos voisins. 

Si vous aimez écouter de la musique, ou des podcasts, évitez de passer trop de temps avec un casque sur les oreilles. Vous fragilisez vos tympans, et à force vous aurez besoin d’augmenter le volume ce qui peut causer des acouphènes voire des pertes d’audition. 

Quand vous achetez un nouvel appareil électroménager, pensez à vous renseigner sur les bips et autres bruits inutiles qu’ils peuvent faire. Ça peut paraître anodin, mais ces bruits répétés tous les jours ça porte sur le système.

Par exemple, les appareils ayant l’éco-label européen ne doivent pas dépasser un certain seuil de puissance acoustique, cela peut vous permettre de faire un choix éclairé.

Et pour prendre l’habitude de réduire votre impact sonore, rendez-vous régulièrement dans la nature, là où il y a peu de bruits “humains” comme la circulation et écoutez le “silence”. Enfin vous vous en rendrez vite compte ce n’est pas du silence, il y aura le vent dans les feuilles, les oiseaux qui chantent, peut être des abeilles qui passeront près de vos oreilles, ou un arbre qui craque. Une oreille ça s’entraîne, et si l’on veut pouvoir limiter la pollution sonore, il faut prendre le temps d’en avoir conscience. Et comme nos nuisances sonores affectent également l’écosystème qui nous entoure, penser à deux fois avant de faire du bruit, ça ne peut être que bénéfique, et ça oui, j’en suis sûre, on peut faire.

La pollution lumineuse

Bienvenue dans ce nouvel épisode d’On peut le faire.  Ce mois-ci je vous propose de nous attarder sur tout ce qui peut également être considéré comme de la pollution mais pas des sols ou de l’air. La semaine dernière je vous ai parlé de la pollution sonore, cette semaine je vais vous parler de la pollution lumineuse. 

On parle de pollution lumineuse quand les éclairages artificiels sont si nombreux et omniprésents qu’ils nuisent à l’obscurité normale de la nuit.

Impossible de regarder les étoiles pendant les belles soirées d’été.

Ces éclairages peuvent être ceux présents dans les rues de nos communes, des enseignes publicitaires, les vitrines de magasins, les bâtiments qui hébergent des bureaux qui restent allumés la nuit alors que personne n’y travaille… Chacune des lampes qui reste allumée la nuit est visible à plusieurs mètres de distance et a beaucoup d’impacts sur notre santé et celle de la nature.

C’est que lorsque l’on parle de pollution on a l’impression que les pollutions de l’air, de l’eau et des sols sont les plus importantes car elles ont un impact sur ce que l’on ingère : l’air que l’on respire, la nourriture que l’on mange, l’eau que l’on boit.

Mais chez l’homme, la pollution lumineuse est suspectée de dérégler notre équilibre et notamment notre horloge biologique.  Elle peut altérer le système hormonal , qui a besoin d’un certain nombre d’heures d’obscurité pour bien fonctionner; notre sécrétion de mélatonine, hormone qui affecte le sommeil, la reproduction ou encore  le vieillissement.

Chez les animaux, elle perturbe l’orientation des espèces qui utilisent la lumière de la lune et des étoiles, et leur reflet sur l’eau, pour s’orienter, traquer leurs proies et fuir leurs prédateurs la nuit. Certains insectes sont attirés par les lumières et meurent de fatigue. Quant aux oiseaux migrateurs, ils sont dérivés de leurs routes et s’épuisent également, et ce ne sont que quelques exemples.

Alors que faire, à notre niveau pour réduire cette pollution lumineuse ? 

Tout d’abord, réduire la puissance des lumières que l’on utilise chez nous, fermez les rideaux et les volets dès que la nuit s’installe pour éviter que nos lampes n’éclairent autant l’extérieur que nos intérieurs.

Vous pouvez également sensibiliser les commerçants proches de chez vous afin qu’ils éteignent leurs enseignes lumineuses la nuit. Depuis décembre 2018, une loi les oblige à éteindre leurs lumières entre 1h et 6h du matin. 

Pour faire changer les choses, certains militants sautent sur les murs des magasins pour éteindre les lumières chaque nuit dans certaines grandes villes. Ce mouvement appelé “Lights off” a pris de l’ampleur suite à une vidéo virale publiée par deux jeunes marseillais sur le réseau social TikTok.

Sans aller jusque là, car nous ne sommes pas tous des pros de l’escalade, une petite conversation avec vos commerçants préférés peut faire changer les choses. Leur expliquer les effets trop peu connus de la pollution lumineuse peut les inciter à changer leurs comportements, leur expliquer également que cela fera baisser leur facture électrique peut être être le petit plus qui fera pencher la balance dans le sens de la protection de notre environnement. Cela ne les empêchera pas de développer leur activité et de rester visibles mais la journée, aux heures où leurs clients potentiels seront également dehors et pourront les découvrir. Nous pourrons ainsi profiter de belles nuits noires, regarder les étoiles et peut-être même faire un vœux si nous avons la chance de voir une étoile filante. Le vœux que les habitants de la planète terre soient plus respectueux de la nature qui les entoure; car oui j’en suis sûre on peut le faire.

La pollution visuelle

Bienvenue dans ce nouvel épisode d’On peut le faire.  Ce mois-ci je vous propose de nous attarder sur tout ce qui peut également être considéré comme de la pollution mais pas des sols ou de l’air. La semaine dernière je vous ai parlé de la pollution lumineuse, on reste sur le sens de la vue, cette semaine je voudrais réfléchir avec vous sur la pollution visuelle.

En dehors des lampes et autres enseignes lumineuses qui perturbent notre santé et les écosystèmes, notre vue est constamment encombrée de publicités : que ce soit les panneaux publicitaires qui encadrent nos routes, ou les publicités que nous recevons chaque jour dans nos boîtes aux lettres. 

Commençons par les publicités que nous recevons. La solution, poser un autocollant Stop Pub sur votre boîte aux lettres. Facile à trouver, il indique à toute personne qui distribue des prospectus que vous refusez qu’elles y déposent des publicités, exceptés les outils de communication locales comme le journal de la ville ou des communautés de commune. 

Cette initiative  qui existe depuis assez longtemps, s’est durcie début 2022 puisque maintenant une loi antigaspillge prévoit une amende de 1500 euros pour les entreprises qui ne la respecte pas. Et cela vaut aussi pour les agents immobiliers qui souvent pensent qu’ils ne sont pas concernés et continuent à distribuer leurs flyers dans les boîtes aux lettres. 

Coller un stop pub, ce sont des kilos de papiers qui ne seront pas utilisés, imprimés et détruits, et vos yeux qui ne seront plus pollués d’incitation à la consommation. Car oui, le cerveau est sensible à ces couleurs, slogans et autres techniques marketing qui vous font croire que vous avez besoin de tous ces objets. 

Cette loi antigaspillage prévoit également des sanctions contre l’affichage sauvage et la distribution de prospectus sur les pare-brise des voitures. Alors avis aux entreprises et organisateurs d’événements qui utilisent encore cette technique de communication, il y a d’autres manières pour faire parler de vous. D’autant plus sur notre territoire où les jours de mistral les flyers finissent par s’arracher et voler aux quatre vents avant même d’avoir été regardé par les propriétaires des voitures donc à polluer l’environnement plutôt que d’informer les gens.

Autre pollution visuelle , les panneaux publicitaires et maintenant ils ne sont plus en papier mais électroniques. Une petite couche supplémentaire sur la pollution lumineuse dont je parlais la semaine dernière. Et je ne sais pas vous mais personnellement je trouve que cela gêne la conduite quand ils clignotent la nuit pour attirer notre attention sur la marque qui communique. Pour le moment je n’ai pas trouvé de loi concernant l’obligation d’éteindre ces panneaux pendant la nuit. Espérons que cela change rapidement.

Enfin, il y a les dépôts sauvages de déchets. Et oui, en dehors de la catastrophe écologique que cela peut causer, c’est également de la pollution visuelle. Quand on se balade dans la campagne ou au bord de l’Auzon par exemple, l’objectif est de profiter de la nature et de ses couleurs, pas de voir une carcasse de lavabo, un vieux canapé ou des poubelles traîner n’importe où.  

Si vous avez l’âme solidaire,  vous pouvez vous promener avec un sac plastique et des gants pour ramasser les plus petits déchets au fur et à mesure de votre balade. Et si vous ne voulez pas faire cela seul, les  associations cleanwalk ou 1 déchet par jour organisent régulièrement des marches citoyennes pour ramasser le maximum de déchets. 

Et si vous découvrez un dépôt sauvage autour de chez vous n’hésitez pas à prévenir votre mairie qui pourra organiser leur évacuation voire la mise en demeure des responsables s’il est possible de les retrouver…

En dehors des dégâts sur l’environnement des publicités papiers, lumineuses et des déchets dans la nature, ces encombrements d’éléments moches dans nos champs visuels nous empêchent de voir le beau, et de donner envie de la préserver. Lutter contre la pollution visuelle est donc aussi un acte citoyen pour faire avancer notre société vers une démarche plus responsable car oui j’en suis sûre on peut le faire. 

Notre cerveau pollué par les mauvaises nouvelles

Bienvenue dans ce nouvel épisode d’On peut le faire.  Ce mois-ci je vous propose de nous attarder sur tout ce qui peut également être considéré comme de la pollution mais pas des sols ou de l’air. La semaine dernière je vous ai parlé de la pollution visuelle, aujourd’hui je vous parle de solastalgie.

Est-ce que vous avez déjà entendu ce mot ?

La solastalgie ou éco-anxiété est une détresse psychique ou existentielle causée par exemple par les changements environnementaux passés, actuels et attendus, en particulier concernant le réchauffement climatique et la disparition de la biodiversité. 

Évidemment, vu la période que nous vivons entre la pandémie, les différentes guerres et autres crises économiques qui plongent certains pays dans le chaos à laquelle on ajoute les rapports du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) qui annonce chaque année que si nous ne faisons rien nous allons droit vers notre propre extinction, il y a de bonnes raisons d’être en détresse.

Le problème avec la peur c’est qu’elle nous empêche de réfléchir, voire à force de lire et entendre des titres catastrophiques, on se dit que perdu pour perdu autant profiter un maximum tant qu’il en est encore temps.

Alors oui, si on ne bouge pas nous allons vivre des années catastrophiques (et c’est déjà le cas dans certains pays), oui il faut alerter pour que nous soyons au courant des conséquences de nos actes : vivre dans un monde tout rose, éloigné de toute informations négative n’aide pas à faire bouger les choses non plus.

Mais, je trouve que , et c’est pour ça que je parle de pollution, la tendance à l’hyperinformation de notre société nous bloque dans l’effroi plutôt que de nous donner envie d’avancer pour faire bouger les choses.

A ce sujet, j’ai lu récemment un article intéressant sur le site Novethic qui donne un angle différent suite aux nombreux articles et reportages parus après la publication du dernier rapport du GIEC le 4 avril dernier.

Partout nous pouvions lire et entendre : “Il ne reste que 3 ans avant la fin du monde”

Alors comment ne pas paniquer, voire se résigner quand on est abreuvé de cette nouvelle toute la journée à chaque fois que l’on allume la TV, ses réseaux sociaux ou on lit un journal ?

Effectivement il faut se bouger si on veut rester sur une planète vivable, plus on le fera vite, mieux ce sera, mais chaque action compte.

Et c’est ce que je veux vous montrer dans cette chronique.

Et puis il y a un autre effet, quand on est dans l’action, même si parfois on s’épuise et que l’on a l’impression que rien ne bouge, on donne l’exemple. Alors je ne dis pas qu’il faut crier sur tous les toits que vous avez changé votre mode de consommation, que vous tentez le zéro déchet ou que vous vous impliquez dans une association de protection de la nature. Juste soyez vous-même, aligné avec vos valeurs , avancez malgré les critiques (oui il y en a des fois), tentez des choses, revenez en arrière (personne n’est pas parfait) mais au moins agissez avec vos moyens. Les chercheurs du GIEC le disent, chaque tonne de CO2 compte donc tout ce que vous ne produirez pas c’est déjà ça de pris pour la planète. 

Et ainsi vous libérerez votre esprit de cette pollution des mauvaises nouvelles. Être conscient oui, être déprimé et attendre que le ciel nous tombe sur la tête non. La journaliste Laure Noualhat dit que l’action est « le meilleur anxiolytique » et je suis bien d’accord avec elle.

Une des premières actions à faire donc c’est peut être de s’informer différemment, pour éviter de se faire polluer l’esprit et donc de sombrer dans cette tendance du “ de toute façon c’est trop tard donc à quoi bon ?

La semaine prochaine je vous proposerai donc quelques sources d’informations que j’utilise moi-même pour changer d’angles face aux infos et garder l’énergie pour faire bouger les choses, car oui j’en suis sûre on peut le faire !

S’informer de manière constructive

Bienvenue dans ce nouvel épisode d’On peut le faire.  Dernier épisode du mois où je vous ai parlé de différents types de pollution, moins connus, comme la pollution sonore, lumineuse ou visuelle. La semaine dernière, je vous parlais de solastalgie ou éco-anxiété souvent causée par toutes les nouvelles angoissantes que nous entendons ou lisons chaque jours, de quoi polluer notre esprit et réduire l’énergie que nous avons pour avancer vers un mode de vie plus responsable.

Pour éviter donc d’avoir envie de creuser un trou pour plonger sa tête dedans et espérer que les choses vont changer d’elles-même je vais aujourd’hui vous parler de sites d’informations ou de podcasts que je suis et qui, à mon goût donnent des information constructives plutôt que destructrices.

Commençons par Bleu Tomate, un réseau d’information qui met en lumière les acteurs de la transition en Provence qui privilégient la biodiversité, la proximité, la naturalité, les énergies renouvelables. La vocation des journalistes qui y travaillent : encourager le passage à l’acte vers une consommation écoresponsable.  Vous pouvez lire leurs articles sur bleu-tomate.fr ou regarder leur chaîne youtube.

Si on reste dans les médias créés localement, il y a aussi le blog de green & local. Je vous avais déjà parlé de cette application collaborative qui référence et géolocalise les professionnels écoresponsables. Bénédicte Longechal, sa créatrice vauclusienne, a un blog plein de bonnes idées pour réduire nos déchets, créer nos produits nous-même avec des ingrédients naturels – et ça vous savez que j’adore le faire – et bien sûr réaliser de bonnes recettes gourmandes avec des produits de saison. 

Comme je suis fan de podcasts j’ai beaucoup de références dans ce type de médias, comme par exemple ‘Y’a le feu au lac’, animé par Lucas Scaltritti et produit par Ouest France en 2021, ce podcast a pour objectif de décortiquer ce que l’on croit savoir sur l’écologie et de nous aider à comprendre ce qui est vraiment bon pour la planète. Chacun des 21 épisodes répond en moins de 20 minutes à une question que nous pouvons nous poser comme : Et si le recyclage n’était pas si écologique ? ou Peut-on être écolo et partir en vacances ?

C’est facile à écouter et à comprendre, pas du tout moralisateur, ça permet de connaître des faits pour se faire une idée sur un sujet, car ce n’est pas toujours évident de s’y retrouver.

Il y a également “Je fais de mon mieux”, le podcast pour les écolos imparfaits. Ou encore le podcast Sismique, qui est parfois très pointu mais tout aussi intéressant, sur les enjeux de notre monde en pleine mutation.

Et pour les amateurs de radio, je recommande : la super émission de France Inter “La terre au carré” animé par Mathieu Vidard.

Pour protéger la nature, il faut mieux la connaître et quand en plus on connaît tous les bienfaits que les plantes peuvent nous apporter, on a encore plus envie d’en prendre soin. C’est ce que l’on apprend sur le blog Althea Provence, et son podcast. Christophe Bernard, son créateur est aussi Vauclusien  et propose de partager son expérience sur les plantes médicinales puisqu’il est conseiller en phytothérapie et herboristerie. De quoi soulager pas mal de vos petits bobos naturellement.

Et pour terminer, parce qu’il faut toujours garder une attitude optimiste, je vous conseille de regarder sur Youtube ou Instagram Le média positif. Chaque jour à 19h, il publie 4 informations qui se sont passées dans le monde pour  montrer l’actualité sous un jour nouveau et mettre en lumière les nouvelles positives qui chaque jour naissent en silence ! Une vraie bouffée d’air frais.

Et enfin, bien évidemment mon propre podcast, Esperluette qui donne la parole aux belles énergies entrepreneuriales, associatives et artistiques de notre cher territoire, le Vaucluse.

Il y en aurait encore beaucoup d’autres à citer, mais cela vous donne déjà pas mal d’idées pour changer votre façon de vous informer, faire bifurquer votre angle de vue vers quelque chose de plus constructif et j’espère que cela vous donnera des idées pour avancer vers un mode de vie plus respectueux de notre planète, car oui j’en suis sure on peut le faire !!